Peintre plasticienne
Anne-Marie PRILLARD est franc-comtoise.
Depuis 1975, elle peint et expose régulièrement -France, Allemagne, Japon- d'abord sous son nom marital, AM LANOY, et depuis 1997, sous son patronyme Anne-Marie PRILLARD.
Son parcours artistique est assez atypique :
1975 – 1990
Sa peinture est proche des paysagistes comtois. La lumière et les atmosphères ont un rôle important dans son travail.
1991 - 1992 Abstraction
Premier virage et courte halte dans l’abstraction vécue comme une rupture totale, nécessitée par un réel besoin d’identité.
1993 - 2015
"Stabat Mater, la femme debout" - Peinture figurative. C'est un retour à la figuration, avec la volonté d’un travail d’auteur sans concession où l’expression de son ressenti est le moteur essentiel de son travail. Sa peinture est peuplée essentiellement de femmes aux formes rondes et callipyges, femmes stylisées, qui sont pour elle un moyen d'expression pour traduire les évènements qui la touchent personnellement ou inspirés par l’actualité. (Condition de la femme dans le monde, cancer du sein, isolement, pollution nucléaire, maternité,...) Un monde bien à elle où règnent tantôt la sérénité, la volupté, tantôt la douleur et parfois la violence. « Je m'investis totalement lorsque je peins, j'y mets mes tripes et le résultat peut être violent parfois, mais ça, je ne le maitrise pas... » déclare-t-elle.
1975 – 1990
Sa peinture est proche des paysagistes comtois. La lumière et les atmosphères ont un rôle important dans son travail.
1991 - 1992 Abstraction
Premier virage et courte halte dans l’abstraction vécue comme une rupture totale, nécessitée par un réel besoin d’identité.
1993 - 2015
"Stabat Mater, la femme debout" - Peinture figurative. C'est un retour à la figuration, avec la volonté d’un travail d’auteur sans concession où l’expression de son ressenti est le moteur essentiel de son travail. Sa peinture est peuplée essentiellement de femmes aux formes rondes et callipyges, femmes stylisées, qui sont pour elle un moyen d'expression pour traduire les évènements qui la touchent personnellement ou inspirés par l’actualité. (Condition de la femme dans le monde, cancer du sein, isolement, pollution nucléaire, maternité,...) Un monde bien à elle où règnent tantôt la sérénité, la volupté, tantôt la douleur et parfois la violence. « Je m'investis totalement lorsque je peins, j'y mets mes tripes et le résultat peut être violent parfois, mais ça, je ne le maitrise pas... » déclare-t-elle.
2017 - Biennale des arts plastiques de Franche-Coté - Micropolis - BESANCON
Si les femmes d'Anne-Marie PRILLARD occupent quasiment toute la toile, c'est pour symboliser l’importance qu’elle souhaiterait redonner à La Femme. Les hanches et cuisses qu'elle peint larges et rondes et les seins, sont pour elle les symboles de maternité et de féminité.
Certaines clés sont indispensables pour entrer réellement dans l'univers de ses œuvres...
2011
« Interlude en Noir et Blanc »
Elle reprend le chemin de la création artistique par le biais d'encres de Chine, après 3 ans d'interruption imposée par une maladie handicapante.
Du papier
Des petits formats
Le Noir et le Blanc...
Elle remplit des quantités de carnets de croquis spontanés, des instantanés de ses états d'âme, ce mode d'expression lui convenant alors parfaitement. Ainsi est né « Interlude en Noir et Blanc », une série de dessins abstraits ou à la limite de l'abstraction, un prélude au retour à la couleur. Cette couleur qu'elle préfère…
2011
« Interlude en Noir et Blanc »
Elle reprend le chemin de la création artistique par le biais d'encres de Chine, après 3 ans d'interruption imposée par une maladie handicapante.
Du papier
Des petits formats
Le Noir et le Blanc...
Elle remplit des quantités de carnets de croquis spontanés, des instantanés de ses états d'âme, ce mode d'expression lui convenant alors parfaitement. Ainsi est né « Interlude en Noir et Blanc », une série de dessins abstraits ou à la limite de l'abstraction, un prélude au retour à la couleur. Cette couleur qu'elle préfère…
2013
Elle reprend les pinceaux et mène en parallèle ses deux formes d'expression, peinture et encres.
Elle reprend les pinceaux et mène en parallèle ses deux formes d'expression, peinture et encres.
Depuis 2015
« Petite Suite ou l’Arbre, cet avenir de l’Homme » .
« Petite Suite ou l’Arbre, cet avenir de l’Homme » .
Changement
de thèmes et d’atmosphère. Elle compose sa série« Petite Suite » comme une fable, une ode au monde du vivant.
Son interprétation de l’évolution du tandem Animal/Végétal. …
Tout son travail,- installations en milieu naturel, peintures figuratives polychrome ou monochromes sur papier à la limite
de l’abstraction selon la nécessité - converge sur « Petite suite »
« Après plus de
20 ans sur mon « Stabat Mater, la Femme debout » je travaille
sur un tout autre thème : le MONDE ET LA PLACE DU VIVANT.
Un travail inspiré par la classification par les naturalistes du 18e
des Êtres Vivants en règnes, Animal et Végétal. Une sonate picturale sur cette symbiose originelle…" .
Une
même origine, une même provenance,… vers
quel destin ?